Pourquoi certains aiment-ils les bisous et d'autres pas?
En ce surlendemain de la Journée mondiale de la femme, Ray Ponsatoo adresse un salut du bout des lèvres à ces congénères féminins. Et répond pour l'occasion à Sophie, qui lui demande pourquoi certains aiment les bisous, et d'autres, non.
Ne nous leurrons pas, tout le monde (ou presque) aime les bisous. Mais pas de n'importe qui, pas n'importe comment, pas n'importe où. Par exemple, il n'y a pas grand-monde qui apprécie les papouilles baveuses de tante Marthe, 97 ans et toutes ses dents... tombées depuis longtemps. Il y a aussi les petits garçons de 10 ans qui, pour jouer les durs, refusent catégoriquement les bisous - alors qu'en réalité, ils aiment ça! Il y a aussi les dégoûtés du rouge à lèvre, comme Ray Ponsatoo...
Mais le plus courant, c'est le bisou obligé à Untel ou Unetelle, qu'on échangerait volontiers contre une poignée de mains, surtout quand Untel est moustachu et libidineux. Par exemple, quand, récemment, Angela Merkel a reçu un bisou de la part de Nicolas Sarkozy devant les caméras, elle n'a pas aimé. Ray Ponsatoo se rappelle aussi une jeune femme qui, systématiquement, tordait ses lèvres vers l'extérieur afin de ne jamais toucher la joue qui l'effleurait. Ca devient du simple choc de peaux, là. Donc, si on refuse régulièrement de vous faire la bise, ou si votre ami(e) est réfractaire aux câlins buccaux, ça vaut la peine de vous regarder dans la glace et de vous interroger: "je pue le fioul ou quoi?"
Mais en dehors de ces cas particuliers où l'on n'a pas envie de biser la personne en face de soi, franchement, qui n'aime pas les bisous? Bon, d'accord, il existe des gens qui n'aiment vraiment pas ça. Dans ces cas-là, je suis désolé de le dire, mais il y a de fortes chances qu'il y ait des raisons d'ordre psychologique (problème d'affection? traumatisme dans la petite enfance? éducation dure et conservatrice? viol?...). Ceux-là, d'une manière général, répugnent non seulement au bisou, mais aussi au contact physique avec l'autre.
Certaines personnes, par ailleurs, considèrent aussi le bisou comme un geste extrêmement intime, réservé à l'être aimé, en privé. Ca se respecte. Refuser les bisous, c'est une manière de maintenir en respect, de refuser de briser la glace, de se protéger aussi. Ca peut en dire assez long sur la personnalité. Mais pour finir, ne pas aimer les bisous n'est pas une tare. C'est juste dommage, vous perdez quelque chose!
Sur ce, Ray Ponsatoo va aller se promener dans les rues pour proposer une version bisou du free hug. Distribuer des baisers gratis aux passants au visage triste, c'est beau, non?
Ne nous leurrons pas, tout le monde (ou presque) aime les bisous. Mais pas de n'importe qui, pas n'importe comment, pas n'importe où. Par exemple, il n'y a pas grand-monde qui apprécie les papouilles baveuses de tante Marthe, 97 ans et toutes ses dents... tombées depuis longtemps. Il y a aussi les petits garçons de 10 ans qui, pour jouer les durs, refusent catégoriquement les bisous - alors qu'en réalité, ils aiment ça! Il y a aussi les dégoûtés du rouge à lèvre, comme Ray Ponsatoo...
Mais le plus courant, c'est le bisou obligé à Untel ou Unetelle, qu'on échangerait volontiers contre une poignée de mains, surtout quand Untel est moustachu et libidineux. Par exemple, quand, récemment, Angela Merkel a reçu un bisou de la part de Nicolas Sarkozy devant les caméras, elle n'a pas aimé. Ray Ponsatoo se rappelle aussi une jeune femme qui, systématiquement, tordait ses lèvres vers l'extérieur afin de ne jamais toucher la joue qui l'effleurait. Ca devient du simple choc de peaux, là. Donc, si on refuse régulièrement de vous faire la bise, ou si votre ami(e) est réfractaire aux câlins buccaux, ça vaut la peine de vous regarder dans la glace et de vous interroger: "je pue le fioul ou quoi?"
Mais en dehors de ces cas particuliers où l'on n'a pas envie de biser la personne en face de soi, franchement, qui n'aime pas les bisous? Bon, d'accord, il existe des gens qui n'aiment vraiment pas ça. Dans ces cas-là, je suis désolé de le dire, mais il y a de fortes chances qu'il y ait des raisons d'ordre psychologique (problème d'affection? traumatisme dans la petite enfance? éducation dure et conservatrice? viol?...). Ceux-là, d'une manière général, répugnent non seulement au bisou, mais aussi au contact physique avec l'autre.
Certaines personnes, par ailleurs, considèrent aussi le bisou comme un geste extrêmement intime, réservé à l'être aimé, en privé. Ca se respecte. Refuser les bisous, c'est une manière de maintenir en respect, de refuser de briser la glace, de se protéger aussi. Ca peut en dire assez long sur la personnalité. Mais pour finir, ne pas aimer les bisous n'est pas une tare. C'est juste dommage, vous perdez quelque chose!
Sur ce, Ray Ponsatoo va aller se promener dans les rues pour proposer une version bisou du free hug. Distribuer des baisers gratis aux passants au visage triste, c'est beau, non?